Public ISBD UNIMARC

Type de documentThèse
Languefre
TitreModélisation du taux d\'évaporation à partir d\'une suface d\'eau libre. Application aux barrages dans les régions humide, semi aride et aride d\'Algérie [ressource textuelle, sauf manuscrits]
Auteur(s)Belarbi, Nouzha
Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediène (Editeur (scientifique))
Saïghi, M. (Directeur de thèse)
Adresse bib.[s.l] : [s.n],2007
Collation152 p. : ill. ; 30 cm. + CD-Rom
NotesBibliogr.
Notes de thèseMagister : Alger : Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediène : 2007
Indexation libreEvaporation
Barrages:Régions arides:Algérie
Similitude (physique)
RésuméL'appartenance de notre pays à la catégorie climatique aride et semi-aride, fait qu'une gestion efficiente des ressources en eau soit primordiale pour le maintient des populations dans ces région. Dans le cadre de notre recherche, nous présentons une étude de modélisation du taux d'évaporation à partir d'une surface d'eau libre avec application aux barrages dans les régions humides, semi-arides et arides d'Algérie. En raison des nombreux modèles qui existent pour le calcul de l'évaporation, le choix de la méthode la plus appropriée pour une situation donnée est difficile. Le choix d'une méthode dépend généralement de la disponibilité des données et de la capacité de la méthode d'estimer l'importance et la variation des pertes évaporatoires. Malheureusement, pour une situation donnée, aucune directive définie n'a été donnée pour choisir la méthode à employer. Nous avons utilisé pour notre calcul, une méthode itérative qui consiste, dans un premier temps, à calculer la température à la surface par la méthode de dichotomie. Ensuite, nous calculons le taux d'évaporation selon les méthodes choisies. Nos calculs utilisent les données météorologiques (température, humidité relative, rayonnement net . . .) des différentes régions étudiées. Notre calcul du taux d'évaporation est comparé à ceux obtenus par différents modèles usuellement utilisés : Bilan énergétique, Stefan, Penman, Monin Obukhov. Les modèles différent essentiellement par le calcul des coefficients d'échanges de quantité de mouvement, de chaleur sensible et de masse qui dépendent du régime d'écoulement au dessus de la surface d'eau ainsi que l'effet de la stabilité de l'atmosphère sur les profils de vitesse. La sensibilité de la vitesse du vent et de l'humidité relative sur l'évaporation a été également étudiée. Au-delà de la comparaison des taux d'évaporation calculés par les différentes méthodes, une attention particulière est portée sur l'évaporation annuelle dans les trois régions étudiées; le constat est effarant; en effet, l'évaporation à partir d'un barrage est équivalente à la consommation d'une ville de presque 300 milles habitants! Imaginons l'évaporation d'une cinquantaine de barrages! Enfin, une réflexion sur les différentes méthodes qu'on pourrait utiliser pour réduire le taux d'évaporation a été développée.

Belarbi, Nouzha
Modélisation du taux d\'évaporation à partir d\'une suface d\'eau libre. Application aux barrages dans les régions humide, semi aride et aride d\'Algérie [ressource textuelle, sauf manuscrits] / Nouzha Belarbi; Ed. Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediène, Dir. M. Saïghi.-[s.l] : [s.n],2007.-152 p. : ill. ; 30 cm. + CD-Rom.
- Bibliogr.
Magister : Alger : 2007
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L'appartenance de notre pays à la catégorie climatique aride et semi-aride, fait qu'une gestion efficiente des ressources en eau soit primordiale pour le maintient des populations dans ces région. Dans le cadre de notre recherche, nous présentons une étude de modélisation du taux d'évaporation à partir d'une surface d'eau libre avec application aux barrages dans les régions humides, semi-arides et arides d'Algérie. En raison des nombreux modèles qui existent pour le calcul de l'évaporation, le choix de la méthode la plus appropriée pour une situation donnée est difficile. Le choix d'une méthode dépend généralement de la disponibilité des données et de la capacité de la méthode d'estimer l'importance et la variation des pertes évaporatoires. Malheureusement, pour une situation donnée, aucune directive définie n'a été donnée pour choisir la méthode à employer. Nous avons utilisé pour notre calcul, une méthode itérative qui consiste, dans un premier temps, à calculer la température à la surface par la méthode de dichotomie. Ensuite, nous calculons le taux d'évaporation selon les méthodes choisies. Nos calculs utilisent les données météorologiques (température, humidité relative, rayonnement net . . .) des différentes régions étudiées. Notre calcul du taux d'évaporation est comparé à ceux obtenus par différents modèles usuellement utilisés : Bilan énergétique, Stefan, Penman, Monin Obukhov. Les modèles différent essentiellement par le calcul des coefficients d'échanges de quantité de mouvement, de chaleur sensible et de masse qui dépendent du régime d'écoulement au dessus de la surface d'eau ainsi que l'effet de la stabilité de l'atmosphère sur les profils de vitesse. La sensibilité de la vitesse du vent et de l'humidité relative sur l'évaporation a été également étudiée. Au-delà de la comparaison des taux d'évaporation calculés par les différentes méthodes, une attention particulière est portée sur l'évaporation annuelle dans les trois régions étudiées; le constat est effarant; en effet, l'évaporation à partir d'un barrage est équivalente à la consommation d'une ville de presque 300 milles habitants! Imaginons l'évaporation d'une cinquantaine de barrages! Enfin, une réflexion sur les différentes méthodes qu'on pourrait utiliser pour réduire le taux d'évaporation a été développée.

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330  $aL'appartenance de notre pays à la catégorie climatique aride et semi-aride, fait qu'une gestion efficiente des ressources en eau soit primordiale pour le maintient des populations dans ces région. Dans le cadre de notre recherche, nous présentons une étude de modélisation du taux d'évaporation à partir d'une surface d'eau libre avec application aux barrages dans les régions humides, semi-arides et arides d'Algérie. En raison des nombreux modèles qui existent pour le calcul de l'évaporation, le choix de la méthode la plus appropriée pour une situation donnée est difficile. Le choix d'une méthode dépend généralement de la disponibilité des données et de la capacité de la méthode d'estimer l'importance et la variation des pertes évaporatoires. Malheureusement, pour une situation donnée, aucune directive définie n'a été donnée pour choisir la méthode à employer. Nous avons utilisé pour notre calcul, une méthode itérative qui consiste, dans un premier temps, à calculer la température à la surface par la méthode de dichotomie. Ensuite, nous calculons le taux d'évaporation selon les méthodes choisies.  Nos calculs utilisent les données météorologiques (température,  humidité relative, rayonnement net . . .) des différentes régions étudiées. Notre calcul du taux d'évaporation est comparé à ceux obtenus par différents modèles usuellement utilisés : Bilan énergétique, Stefan, Penman, Monin Obukhov. Les modèles différent essentiellement par le calcul des coefficients d'échanges de quantité de mouvement, de chaleur sensible et de masse qui dépendent du régime d'écoulement au dessus de la surface d'eau ainsi que l'effet de la stabilité de l'atmosphère sur les profils de vitesse. La sensibilité de  la vitesse du vent et de l'humidité relative sur l'évaporation a été également étudiée. Au-delà de la comparaison des taux d'évaporation calculés par les différentes méthodes, une attention particulière est portée sur l'évaporation annuelle dans les trois régions étudiées; le constat est effarant; en effet, l'évaporation à partir d'un barrage est équivalente à la consommation d'une ville de presque 300 milles habitants! Imaginons l'évaporation d'une cinquantaine de barrages! Enfin, une réflexion sur les différentes méthodes qu'on pourrait utiliser pour réduire le taux d'évaporation a été développée.
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