Public ISBD UNIMARC

Type de documentThèse
TitreETUDE DE LA TOLERANCE A LA SECHERESSE DE PLUSIEURS VARIETES DE BLE DUR (TRITICUM DURUM) LOCALES ET INTRODUITES DANS LES ZONES SEMI-ARIDES.
Auteur(s)SEMIANI, Yasmina (Auteur)
Bradea, M.S. (Directeur de thèse)
Adresse bib.Blida : Univ.Blida 1,2018
Collation199 p. : ill. ; 30 cm + 4 cd rom
NotesBibliogr.- papier support + 4 cd rom
Notes de thèseDoctorat_LMD : Biotechnologie : 2018
Mot (s) cléBlé dur (Triticum durum Desf),
stress hydrique
RésuméL’objectif visé par ce travail consiste en la caractérisation de 17 génotypes de blé dur en vue d’identifier les paramètres morpho-phénologiques, physiologiques et moléculaires impliqués dans les processus d’adaptation des plantes à la contrainte hydrique. Deux expérimentations ont eu lieu; un essai en plein champs et un essai en conditions semi-contrôlées. Dans le premier essai mené au champ à fin de comparer la productivité et la performance des variétés étudiés dans les conditions de la Mitidja. Plusieurs mesures ont été réalisées sur les plans phénologique, morphologique et physiologique. Les résultats ont montrés une différence significative entre l’ensemble des génotypes, donc une variabilité génétique importante. Le génotype MIN/PLA contrairement au génotype BCR est le plus précoce. Les génotypes SORA, ALTA et LLAR se distinguent par une longueur des barbes (LB), longueur de l’épi (LE), poids de milles grains (PMG), poids des grains par épis (PG/épis) et un rendement très importants. Le génotype TAR se caractérise par une hauteur des plantes (HP), une largeur des épis (LRE), un nombre de grains/épis (NG/EPI) et un taux de la chlorophylle (Ch) très élevé. La variété PLATA est caractérisée par une vitesse de croissance (V) et une surface foliaire (SF) les plus élevé. Dans le deuxième essai mené en conditions semi-contrôlées, pour l’étude du comportement des 17 génotypes vis-à-vis du stress hydrique. Les résultats ont montré que l’effet du stress hydrique sur les fonctions morphologiques et physiologiques des plantes de blé dur se traduit par une baisse significative de la hauteur des plantes (HP), la longueur du pédoncule (LP), la longueur de l’épi (LE), la surface foliaire (SF), le nombre de talles total (NTT), la partie de la matière fraiche total (MSFT), la matière sèche total (MSST), le poids de milles grains PMG, le taux d chlorophylle (Ch), la teneur relative en eau (TRE%). Par contre une augmentation significative de la profondeur maximale des racines et de la concentration de la proline est observée sous stress hydrique. Le statut du développement foliaire a été, d’une façon générale, peu affecté par le stress hydrique. L’étude a montré que le stress hydrique provoque les mêmes mécanismes de la réponse chez les 17 génotypes mais à des degrés différents. Une étude complémentaire effectuée au laboratoire de biologie moléculaire à fin de déterminer les bases génétiques de la variation phénotypique, a montrée l’existence d’une variabilité génétique entre les génotypes étudiés et une association significative entre le phénotype et les marqueurs moléculaires utilisés. Certains marqueurs sont associés à un seul caractère tel que les marqueurs WMC54 associé avec la chlorophylle, WMC177 lié aux nombres d’épillets/épi, Xgwm408 lié à la longueur du pédoncule, WMC167 lié à la largeur foliaire et Xgwm11 lié au rendement, tandis que d’autre sont associés à la variation de plusieurs caractères à la fois, tel que le marqueur Xgwm6 qu’est impliqué dans la variation des traits suivants date d’épiaison (DE), nombre de talles total (NTT) et le rendement (RDT). Le marqueur Xgwm251 est impliqué dans la variation de la hauteur de la plante (HP) et la longueur du pédoncule (LP). Le marqueur SSRs Xgwm148 est impliqué dans la variation des traits suivants le rendement (RDT), le nombre d’épillets par épi (Nept/épi), poids de grains par épi (PG/epi) et la largeur foliaire (LRF)

SEMIANI, Yasmina
ETUDE DE LA TOLERANCE A LA SECHERESSE DE PLUSIEURS VARIETES DE BLE DUR (TRITICUM DURUM) LOCALES ET INTRODUITES DANS LES ZONES SEMI-ARIDES. / Yasmina SEMIANI; Dir. M.S. Bradea.-Blida : Univ.Blida 1,2018.-199 p. : ill. ; 30 cm + 4 cd rom.
- Bibliogr.- papier support + 4 cd rom
Doctorat_LMD : Biotechnologie : 2018
.

Blé dur (Triticum durum Desf),
stress hydrique

L’objectif visé par ce travail consiste en la caractérisation de 17 génotypes de blé dur en vue d’identifier les paramètres morpho-phénologiques, physiologiques et moléculaires impliqués dans les processus d’adaptation des plantes à la contrainte hydrique. Deux expérimentations ont eu lieu; un essai en plein champs et un essai en conditions semi-contrôlées. Dans le premier essai mené au champ à fin de comparer la productivité et la performance des variétés étudiés dans les conditions de la Mitidja. Plusieurs mesures ont été réalisées sur les plans phénologique, morphologique et physiologique. Les résultats ont montrés une différence significative entre l’ensemble des génotypes, donc une variabilité génétique importante. Le génotype MIN/PLA contrairement au génotype BCR est le plus précoce. Les génotypes SORA, ALTA et LLAR se distinguent par une longueur des barbes (LB), longueur de l’épi (LE), poids de milles grains (PMG), poids des grains par épis (PG/épis) et un rendement très importants. Le génotype TAR se caractérise par une hauteur des plantes (HP), une largeur des épis (LRE), un nombre de grains/épis (NG/EPI) et un taux de la chlorophylle (Ch) très élevé. La variété PLATA est caractérisée par une vitesse de croissance (V) et une surface foliaire (SF) les plus élevé. Dans le deuxième essai mené en conditions semi-contrôlées, pour l’étude du comportement des 17 génotypes vis-à-vis du stress hydrique. Les résultats ont montré que l’effet du stress hydrique sur les fonctions morphologiques et physiologiques des plantes de blé dur se traduit par une baisse significative de la hauteur des plantes (HP), la longueur du pédoncule (LP), la longueur de l’épi (LE), la surface foliaire (SF), le nombre de talles total (NTT), la partie de la matière fraiche total (MSFT), la matière sèche total (MSST), le poids de milles grains PMG, le taux d chlorophylle (Ch), la teneur relative en eau (TRE%). Par contre une augmentation significative de la profondeur maximale des racines et de la concentration de la proline est observée sous stress hydrique. Le statut du développement foliaire a été, d’une façon générale, peu affecté par le stress hydrique. L’étude a montré que le stress hydrique provoque les mêmes mécanismes de la réponse chez les 17 génotypes mais à des degrés différents. Une étude complémentaire effectuée au laboratoire de biologie moléculaire à fin de déterminer les bases génétiques de la variation phénotypique, a montrée l’existence d’une variabilité génétique entre les génotypes étudiés et une association significative entre le phénotype et les marqueurs moléculaires utilisés. Certains marqueurs sont associés à un seul caractère tel que les marqueurs WMC54 associé avec la chlorophylle, WMC177 lié aux nombres d’épillets/épi, Xgwm408 lié à la longueur du pédoncule, WMC167 lié à la largeur foliaire et Xgwm11 lié au rendement, tandis que d’autre sont associés à la variation de plusieurs caractères à la fois, tel que le marqueur Xgwm6 qu’est impliqué dans la variation des traits suivants date d’épiaison (DE), nombre de talles total (NTT) et le rendement (RDT). Le marqueur Xgwm251 est impliqué dans la variation de la hauteur de la plante (HP) et la longueur du pédoncule (LP). Le marqueur SSRs Xgwm148 est impliqué dans la variation des traits suivants le rendement (RDT), le nombre d’épillets par épi (Nept/épi), poids de grains par épi (PG/epi) et la largeur foliaire (LRF)

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2001 $aETUDE DE LA TOLERANCE A LA SECHERESSE DE PLUSIEURS VARIETES DE BLE DUR (TRITICUM DURUM) LOCALES ET INTRODUITES DANS LES ZONES SEMI-ARIDES.
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330  $aL’objectif visé par ce travail consiste en la caractérisation de 17 génotypes de blé dur en vue d’identifier les paramètres morpho-phénologiques, physiologiques et moléculaires impliqués dans les processus d’adaptation des plantes à la contrainte hydrique. Deux expérimentations ont eu lieu; un essai en plein champs et un essai en conditions semi-contrôlées. Dans le premier essai mené au champ à fin de comparer la productivité et la performance des variétés étudiés dans les conditions de la Mitidja. Plusieurs mesures ont été réalisées sur les plans phénologique, morphologique et physiologique. Les résultats ont montrés une différence significative entre l’ensemble des génotypes, donc une variabilité génétique importante. Le génotype MIN/PLA contrairement au génotype BCR est le plus précoce. Les génotypes SORA, ALTA et LLAR se distinguent par une longueur des barbes (LB), longueur de l’épi (LE), poids de milles grains (PMG), poids des grains par épis (PG/épis) et un rendement très importants. Le génotype TAR se caractérise par une hauteur des plantes (HP), une largeur des épis (LRE), un nombre de grains/épis (NG/EPI) et un taux de la chlorophylle (Ch) très élevé. La variété PLATA est caractérisée par une vitesse de croissance (V) et une surface foliaire (SF) les plus élevé. Dans le deuxième essai mené en conditions semi-contrôlées, pour l’étude du comportement des 17 génotypes vis-à-vis du stress hydrique. Les résultats ont montré que l’effet du stress hydrique sur les fonctions morphologiques et physiologiques des plantes de blé dur se traduit par une baisse significative de la hauteur des plantes (HP), la longueur du pédoncule (LP), la longueur de l’épi (LE), la surface foliaire (SF), le nombre de talles total (NTT), la partie de la matière fraiche total (MSFT), la matière sèche total (MSST), le poids de milles grains PMG, le taux d chlorophylle (Ch), la teneur relative en eau (TRE%). Par contre une augmentation significative de la profondeur maximale des racines et de la concentration de la proline est observée sous stress hydrique. Le statut du développement foliaire a été, d’une façon générale, peu affecté par le stress hydrique. L’étude a montré que le stress hydrique provoque les mêmes mécanismes de la réponse chez les 17 génotypes mais à des degrés différents. Une étude complémentaire effectuée au laboratoire de biologie moléculaire à fin de déterminer les bases génétiques de la variation phénotypique, a montrée l’existence d’une variabilité génétique entre les génotypes étudiés et une association significative entre le phénotype et les marqueurs moléculaires utilisés. Certains marqueurs sont associés à un seul caractère tel que les marqueurs WMC54 associé avec la chlorophylle, WMC177 lié aux nombres d’épillets/épi, Xgwm408 lié à la longueur du pédoncule, WMC167 lié à la largeur foliaire et Xgwm11 lié au rendement, tandis que d’autre sont associés à la variation de plusieurs caractères à la fois, tel que le marqueur Xgwm6 qu’est impliqué dans la variation des traits suivants date d’épiaison (DE), nombre de talles total (NTT) et le rendement (RDT). Le marqueur Xgwm251 est impliqué dans la variation de la hauteur de la plante (HP) et la longueur du pédoncule (LP). Le marqueur SSRs Xgwm148 est impliqué dans la variation des traits suivants le rendement (RDT), le nombre d’épillets par épi (Nept/épi), poids de grains par épi (PG/epi) et la largeur foliaire (LRF)
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