Public ISBD UNIMARC

Type de documentThèse
Languefre
TitreCaracterisation phytochimique et evaluation du potentiel bioactif de deux fabaceae-genisteae [ressource textuelle, sauf manuscrits] : cytisus triflorus l’hérit. (Syn. C. villosus) et genista ferox poiret
Auteur(s)Aourahoun Née Ait-kaci, karima (Auteur)
Fazouane, Fathia (Directeur de thèse)
Adresse bib.[s.l] : [s.n],2019
Collation291 p. : ill. ; 30 cm + CD-Rom
NotesBibliogr. p. 264-291. Annexes
Notes de thèseDoctorat : Biologie : Université de Boumerdès - M'hamed Bougara , Département Bio : 2019
ThemeSciences de la nature
Mot (s) cléHuile essentielle
Cytisus triflorus
Genista ferox
RésuméL’étude porte sur la caractérisation phytochimique et l’évaluation du potentiel bioactif de deux Fabacées?Genistées, très peux investiguées, représentatifs de la flore algérienne : Cytisus triflorus, à usage phytothérapeutique, et Genista ferox sous?valorisée. Les Huiles essentielles (HE) des organes végétatifs aériens de C. triflorus ont été extraites par hydrodistillation (HD) et HD combinée aux ultrasons (US?HD), puis analysés par GC?MS. Les HEs des feuilles ont montré une importante prédominance des composés appartenant à la classe des terpènes (HD 79,85 % ? US?HD 52,66 %) avec dominance du linalool, tandis que celles des tiges est plutôt marquée par une forte teneur en acides (HD 52,44 % ? US?HD 27,45 %) avec prédominance de l’acide linoléique. La comopsition des HEs des organes végétatifs est rapportée pour la première fois chez le genre Cytisus. L’examen microscopique (photonique et électronique à balayage) des coupes anatomiques des feuilles et des tiges de C. triflorus, a révélé la présence de poils sécréteurs capités, rapportés ici pour la première fois chez le genre Cytisus et la tribu des Genistées concernant spécifiquement les tiges. L’analyse des fractions volatiles des extraits aqueux de C. triflorus, a révélé la présence de composés d’intérêt, tels que les acides gras palmitique et linolénique ainsi que le tyrosol et le BHT, tout deux réputés pour leur activité antioxydante. Le BHT, connu de source synthétique, est rapporté ici pour la première fois chez le genre Cytisus. Les lipides foliaires de C. triflorus et G. ferox sont dominés par l’acide linolénique et l’acide oléique, respectivement, tandis que l’acide 8,11?octadécadienoique, non commun, majore dans les lipides des tiges de C. triflorus. Cet acide gras est identifié pour la première fois chez le genre Cytisus. L’analyse des extraits alcaloïdiques par GC?MS, a permis d’identifier 10 composés chez C. triflorus, dont 3 alcaloïdes tricycliques type ??pyridone (Caulophylline, Tinctorine et D?thermopsine) sont rapportés pour la première fois chez l ’espèce C. triflorus. Chez G. ferox, ont pu être caractérisés 6 alcaloïdes, notamment tricycliques (cytisine, caulophylline, Rhombifoline, Tinctorine et D?thermopsine). L’analyse par HPLC?DAD?UV des extraits phénoliques de C. triflorus et G. ferox a révélé la présence de l’acide guallique, de la vanilline et de la quercetine, lesquels seraient impliqués partiellement dans les effets antioxydant et anti?inflammatoire démontrés ultérieurement, par les deux espèces. La présence du BHT a également été notée dans les extraits phénoliques de C. triflorus. Le potentiel antioxydant des extraits phénoliques et des alcaloïdes a été évalué par la méthode de DPPH. Les extraits phénoliques des deux espèces ont exhibé les meilleures activités anti?radicalaires, avec des IC50 variant entre 19,17 µg/ml et 200,83 µg/ml pour C. triflorus et entre 105,37 µg/ml et 206,61 µg/ml pour G. ferox. Par ailleurs, bien que l’activité anti?radicalaire des alcaloïdes soit relativement faible pour les deux espèces, l’extrait alcaloïdique des feuilles de C. triflorus a montré une importante activité inhibitrice du blanchissement de la ??carotène, supérieure à celle exhibée par l’acide ascorbique (75,52 % vs 30,42 %). Les alcaloïdes foliaires de C. triflorus se sont révélés moins actif sur la bactérie à Gram + (Staphylococcus aureus) avec une CMI de 33,33 µg/ml contre une CMI de 8,33 µg/ml vis?à?vis d’Escherichia coli à Gram?. L’activité inhibitrice de cet extrait sur la croissance mycélienne du champignon Aspergillus niger, est supérieure à celle des extraits hydro?alcooliques foliaires des deux espèces, testés sur A. ochraceus ; avec un pourcentage d’inhibition de 39,7 % au 7ème jour pour les alcaloïdes, et 12,23 % (C. triflorus) et 23,74 % (G. ferox) au 15ème jour d’incubation. Le criblage de l’hémostase primaire par les extraits foliaires de C. triflorus a montré une réduction significative du TRP par les alcaloïdes, le lyophilisat et l’extrait hydro?alcoolique, cités dans un ordre d’importance décroissante. Tandis que le TQ est apparu normal, le TCK a été raccourci significativement par les extraits précités mais dans un ordre d’importance inverse à celui du TRP. L’essai anti?inflammatoire réalisé sur les extraits phénoliques des parties végétatives aériennes de C. triflorus et G. ferox, en appliquant le modèle de l’œdème de la patte de souris induit par la carragénine, a révélé des effets anti?inflammatoires plus efficaces des extraits foliaires, avec un taux d’inhibition de l’œdème de 60,5% vs 66,42 %, respectivement, à la dose 400 mg/kg. Les alcaloïdes des feuilles et des fruits de G. ferox se sont révélé à potentiel insecticide intéressant, vis?à?vis du puceron noir de la fève Aphis fabae. Les extraits ont été administrés par mode de contact. Les valeurs de DL50 et TL50 des alcaloïdes des fruits sont inférieurs à celles des alcaloïdes foliaires, marquant ainsi une toxicité élevée de ces alcaloïdes

Aourahoun Née Ait-kaci, karima
Caracterisation phytochimique et evaluation du potentiel bioactif de deux fabaceae-genisteae [ressource textuelle, sauf manuscrits] : cytisus triflorus l’hérit. (Syn. C. villosus) et genista ferox poiret / karima Aourahoun Née Ait-kaci; Dir. Fathia Fazouane.-[s.l] : [s.n],2019.-291 p. : ill. ; 30 cm + CD-Rom.
- Bibliogr. p. 264-291. Annexes
Doctorat : Biologie : Université de Boumerdès - M'hamed Bougara , Département Bio : 2019
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Huile essentielle
Cytisus triflorus
Genista ferox

L’étude porte sur la caractérisation phytochimique et l’évaluation du potentiel bioactif de deux FabacéesÀGenistées, très peux investiguées, représentatifs de la flore algérienne : Cytisus triflorus, à usage phytothérapeutique, et Genista ferox sousÀvalorisée. Les Huiles essentielles (HE) des organes végétatifs aériens de C. triflorus ont été extraites par hydrodistillation (HD) et HD combinée aux ultrasons (USÀHD), puis analysés par GCÀMS. Les HEs des feuilles ont montré une importante prédominance des composés appartenant à la classe des terpènes (HD 79,85 % À USÀHD 52,66 %) avec dominance du linalool, tandis que celles des tiges est plutôt marquée par une forte teneur en acides (HD 52,44 % À USÀHD 27,45 %) avec prédominance de l’acide linoléique. La comopsition des HEs des organes végétatifs est rapportée pour la première fois chez le genre Cytisus. L’examen microscopique (photonique et électronique à balayage) des coupes anatomiques des feuilles et des tiges de C. triflorus, a révélé la présence de poils sécréteurs capités, rapportés ici pour la première fois chez le genre Cytisus et la tribu des Genistées concernant spécifiquement les tiges. L’analyse des fractions volatiles des extraits aqueux de C. triflorus, a révélé la présence de composés d’intérêt, tels que les acides gras palmitique et linolénique ainsi que le tyrosol et le BHT, tout deux réputés pour leur activité antioxydante. Le BHT, connu de source synthétique, est rapporté ici pour la première fois chez le genre Cytisus. Les lipides foliaires de C. triflorus et G. ferox sont dominés par l’acide linolénique et l’acide oléique, respectivement, tandis que l’acide 8,11Àoctadécadienoique, non commun, majore dans les lipides des tiges de C. triflorus. Cet acide gras est identifié pour la première fois chez le genre Cytisus. L’analyse des extraits alcaloïdiques par GCÀMS, a permis d’identifier 10 composés chez C. triflorus, dont 3 alcaloïdes tricycliques type ÀÀpyridone (Caulophylline, Tinctorine et DÀthermopsine) sont rapportés pour la première fois chez l ’espèce C. triflorus. Chez G. ferox, ont pu être caractérisés 6 alcaloïdes, notamment tricycliques (cytisine, caulophylline, Rhombifoline, Tinctorine et DÀthermopsine). L’analyse par HPLCÀDADÀUV des extraits phénoliques de C. triflorus et G. ferox a révélé la présence de l’acide guallique, de la vanilline et de la quercetine, lesquels seraient impliqués partiellement dans les effets antioxydant et antiÀinflammatoire démontrés ultérieurement, par les deux espèces. La présence du BHT a également été notée dans les extraits phénoliques de C. triflorus. Le potentiel antioxydant des extraits phénoliques et des alcaloïdes a été évalué par la méthode de DPPH. Les extraits phénoliques des deux espèces ont exhibé les meilleures activités antiÀradicalaires, avec des IC50 variant entre 19,17 µg/ml et 200,83 µg/ml pour C. triflorus et entre 105,37 µg/ml et 206,61 µg/ml pour G. ferox. Par ailleurs, bien que l’activité antiÀradicalaire des alcaloïdes soit relativement faible pour les deux espèces, l’extrait alcaloïdique des feuilles de C. triflorus a montré une importante activité inhibitrice du blanchissement de la ÀÀcarotène, supérieure à celle exhibée par l’acide ascorbique (75,52 % vs 30,42 %). Les alcaloïdes foliaires de C. triflorus se sont révélés moins actif sur la bactérie à Gram + (Staphylococcus aureus) avec une CMI de 33,33 µg/ml contre une CMI de 8,33 µg/ml visÀàÀvis d’Escherichia coli à GramÀ. L’activité inhibitrice de cet extrait sur la croissance mycélienne du champignon Aspergillus niger, est supérieure à celle des extraits hydroÀalcooliques foliaires des deux espèces, testés sur A. ochraceus ; avec un pourcentage d’inhibition de 39,7 % au 7ème jour pour les alcaloïdes, et 12,23 % (C. triflorus) et 23,74 % (G. ferox) au 15ème jour d’incubation. Le criblage de l’hémostase primaire par les extraits foliaires de C. triflorus a montré une réduction significative du TRP par les alcaloïdes, le lyophilisat et l’extrait hydroÀalcoolique, cités dans un ordre d’importance décroissante. Tandis que le TQ est apparu normal, le TCK a été raccourci significativement par les extraits précités mais dans un ordre d’importance inverse à celui du TRP. L’essai antiÀinflammatoire réalisé sur les extraits phénoliques des parties végétatives aériennes de C. triflorus et G. ferox, en appliquant le modèle de l’œdème de la patte de souris induit par la carragénine, a révélé des effets antiÀinflammatoires plus efficaces des extraits foliaires, avec un taux d’inhibition de l’œdème de 60,5% vs 66,42 %, respectivement, à la dose 400 mg/kg. Les alcaloïdes des feuilles et des fruits de G. ferox se sont révélé à potentiel insecticide intéressant, visÀàÀvis du puceron noir de la fève Aphis fabae. Les extraits ont été administrés par mode de contact. Les valeurs de DL50 et TL50 des alcaloïdes des fruits sont inférieurs à celles des alcaloïdes foliaires, marquant ainsi une toxicité élevée de ces alcaloïdes

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330  $aL’étude porte sur la caractérisation phytochimique et l’évaluation du potentiel bioactif de deux Fabacées?Genistées, très peux investiguées, représentatifs de la flore algérienne : Cytisus triflorus, à usage phytothérapeutique, et Genista ferox sous?valorisée. Les Huiles essentielles (HE) des organes végétatifs aériens de C. triflorus ont été extraites par hydrodistillation (HD) et HD combinée aux ultrasons (US?HD), puis analysés par GC?MS. Les HEs des feuilles ont montré une importante prédominance des composés appartenant à la classe des terpènes (HD 79,85 % ? US?HD 52,66 %) avec dominance du linalool, tandis que celles des tiges est plutôt marquée par une forte teneur en acides (HD 52,44 % ? US?HD 27,45 %) avec prédominance de l’acide linoléique. La comopsition des HEs des organes végétatifs est rapportée pour la première fois chez le genre Cytisus. L’examen microscopique (photonique et électronique à balayage) des coupes anatomiques des feuilles et des tiges de C. triflorus, a révélé la présence de poils sécréteurs capités, rapportés ici pour la première fois chez le genre Cytisus et la tribu des Genistées concernant spécifiquement les tiges. L’analyse des fractions volatiles des extraits aqueux de C. triflorus, a révélé la présence de composés d’intérêt, tels que les acides gras palmitique et linolénique ainsi que le tyrosol et le BHT, tout deux réputés pour leur activité antioxydante. Le BHT, connu de source synthétique, est rapporté ici pour la première fois chez le genre Cytisus. Les lipides foliaires de C. triflorus et G. ferox sont dominés par l’acide linolénique et l’acide oléique, respectivement, tandis que l’acide 8,11?octadécadienoique, non commun, majore dans les lipides des tiges de C. triflorus. Cet acide gras est identifié pour la première fois chez le genre Cytisus. L’analyse des extraits alcaloïdiques par GC?MS, a permis d’identifier 10 composés chez C. triflorus, dont 3 alcaloïdes tricycliques type ??pyridone (Caulophylline, Tinctorine et D?thermopsine) sont rapportés pour la première fois chez l ’espèce C. triflorus. Chez G. ferox, ont pu être caractérisés 6 alcaloïdes, notamment tricycliques (cytisine, caulophylline, Rhombifoline, Tinctorine et D?thermopsine). L’analyse par HPLC?DAD?UV des extraits phénoliques de C. triflorus et G. ferox a révélé la présence de l’acide guallique, de la vanilline et de la quercetine, lesquels seraient impliqués partiellement dans les effets antioxydant et anti?inflammatoire démontrés ultérieurement, par les deux espèces. La présence du BHT a également été notée dans les extraits phénoliques de C. triflorus. Le potentiel antioxydant des extraits phénoliques et des alcaloïdes a été évalué par la méthode de DPPH. Les extraits phénoliques des deux espèces ont exhibé les meilleures activités anti?radicalaires, avec des IC50 variant entre 19,17 µg/ml et 200,83 µg/ml pour C. triflorus et entre 105,37 µg/ml et 206,61 µg/ml pour G. ferox. Par ailleurs, bien que l’activité anti?radicalaire des alcaloïdes soit relativement faible pour les deux espèces, l’extrait alcaloïdique des feuilles de C. triflorus a montré une importante activité inhibitrice du blanchissement de la ??carotène, supérieure à celle exhibée par l’acide ascorbique (75,52 % vs 30,42 %). Les alcaloïdes foliaires de C. triflorus se sont révélés moins actif sur la bactérie à Gram + (Staphylococcus aureus) avec une CMI de 33,33 µg/ml contre une CMI de 8,33 µg/ml vis?à?vis d’Escherichia coli à Gram?. L’activité inhibitrice de cet extrait sur la croissance mycélienne du champignon Aspergillus niger, est supérieure à celle des extraits hydro?alcooliques foliaires des deux espèces, testés sur A. ochraceus ; avec un pourcentage d’inhibition de 39,7 % au 7ème jour pour les alcaloïdes, et 12,23 % (C. triflorus) et 23,74 % (G. ferox) au 15ème jour d’incubation. Le criblage de l’hémostase primaire par les extraits foliaires de C. triflorus a montré une réduction significative du TRP par les alcaloïdes, le lyophilisat et l’extrait hydro?alcoolique, cités dans un ordre d’importance décroissante. Tandis que le TQ est apparu normal, le TCK a été raccourci significativement par les extraits précités mais dans un ordre d’importance inverse à celui du TRP. L’essai anti?inflammatoire réalisé sur les extraits phénoliques des parties végétatives aériennes de C. triflorus et G. ferox, en appliquant le modèle de l’œdème de la patte de souris induit par la carragénine, a révélé des effets anti?inflammatoires plus efficaces des extraits foliaires, avec un taux d’inhibition de l’œdème de 60,5% vs 66,42 %, respectivement, à la dose 400 mg/kg. Les alcaloïdes des feuilles et des fruits de G. ferox se sont révélé à potentiel insecticide intéressant, vis?à?vis du puceron noir de la fève Aphis fabae. Les extraits ont été administrés par mode de contact. Les valeurs de DL50 et TL50 des alcaloïdes des fruits sont inférieurs à celles des alcaloïdes foliaires, marquant ainsi une toxicité élevée de ces alcaloïdes
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